bedtime story
Nous sommes partis le 03 décembre. Nous étions une petite vingtaine. Il faisait un peu froid ce matin là mais ce n'était pas grave_
On s'est retrouvé à l'aéroport; tout le monde avait l'air un peu fatigué (il faut dire que je n'ai pas tant d'amis que ça qui sont du matin et que pour être ponctuel pour un avion qui décolle vers 9h00 du mat', il faut partir de chez soi de bonne heure) mais l'excitation du voyage imminent était un bon stimulant pour être chauds.
Pour être franc, je pense que la plupart de nos compagnons de vol avaient tous très grand besoin de vacances; ça tombe bien :)
un changement à Paris, les attentes et formalités dans les aéroports, 9 heures de vol dans un vieux 747 bondé, encore une heure et demi de bus à la sauce dominicaine (version conduite suicidaire), 30°C de différence de température... on ne faisaient pas les malins quand on est enfin arrivés à l'hôtel la nuit tombée.
Le temps de se faire baguer (bracelets rouges au poignet qui signifient "mangetboitoutcequetuveutoutletempsékado"), de récupérer les clés de la chambre, de boire un petit coup histoire de et hop toute la fatigue décallée est vite tombé sur chacun de nous. On en profitera mieux demain_
mais il faut reconnaître que les lieux, même de nuit, mettaient plutôt bien à l'aise.
Je n'avais jamais vraiment mis les pieds dans ce genre de formule "à la club med". On est beaucoup plus mobiles et visiteurs que cela en temps normal. Cette fois-ci on était partis pour se faire dorlotter pendant 10 jours, le cul dans la piscine et une pina-colada à la main. Le Canoa Coral à Bayahibe s'est avéré être un choix très judicieux pour ce type de tourisme.
on a eu beau temps pendant tout le séjour et ça, c'est vraiment la cerise sur le ponpon : les prévisions météo pour la période étaient catastrophiques jusqu'au départ. J'ai eu très peur. Deux mini-douches tropicales de 3/4 minutes chacune en 10 jours sinon tout le reste du temps : grand bô, parfait pour rougir les culs d'irlandais qui se croient à l'abri dans la piscine.
apart le mardi et le jeudi, les seules questions que l'on a eu à se poser pendant ces quelques jours ont été : piscine ou plage ? pina-colada ou caipirinha ? plongée, pas plongée ? que du bonheur.
le mardi et le jeudi étaient les deux journées réservées par nous, les mariés. Le mardi serait le mystérieux mariage et le jeudi, notre journée "excursion".
Le récit dans les deux prochains posts...
On s'est retrouvé à l'aéroport; tout le monde avait l'air un peu fatigué (il faut dire que je n'ai pas tant d'amis que ça qui sont du matin et que pour être ponctuel pour un avion qui décolle vers 9h00 du mat', il faut partir de chez soi de bonne heure) mais l'excitation du voyage imminent était un bon stimulant pour être chauds.
Pour être franc, je pense que la plupart de nos compagnons de vol avaient tous très grand besoin de vacances; ça tombe bien :)
un changement à Paris, les attentes et formalités dans les aéroports, 9 heures de vol dans un vieux 747 bondé, encore une heure et demi de bus à la sauce dominicaine (version conduite suicidaire), 30°C de différence de température... on ne faisaient pas les malins quand on est enfin arrivés à l'hôtel la nuit tombée.
Le temps de se faire baguer (bracelets rouges au poignet qui signifient "mangetboitoutcequetuveutoutletempsékado"), de récupérer les clés de la chambre, de boire un petit coup histoire de et hop toute la fatigue décallée est vite tombé sur chacun de nous. On en profitera mieux demain_
mais il faut reconnaître que les lieux, même de nuit, mettaient plutôt bien à l'aise.
Je n'avais jamais vraiment mis les pieds dans ce genre de formule "à la club med". On est beaucoup plus mobiles et visiteurs que cela en temps normal. Cette fois-ci on était partis pour se faire dorlotter pendant 10 jours, le cul dans la piscine et une pina-colada à la main. Le Canoa Coral à Bayahibe s'est avéré être un choix très judicieux pour ce type de tourisme.
on a eu beau temps pendant tout le séjour et ça, c'est vraiment la cerise sur le ponpon : les prévisions météo pour la période étaient catastrophiques jusqu'au départ. J'ai eu très peur. Deux mini-douches tropicales de 3/4 minutes chacune en 10 jours sinon tout le reste du temps : grand bô, parfait pour rougir les culs d'irlandais qui se croient à l'abri dans la piscine.
apart le mardi et le jeudi, les seules questions que l'on a eu à se poser pendant ces quelques jours ont été : piscine ou plage ? pina-colada ou caipirinha ? plongée, pas plongée ? que du bonheur.
le mardi et le jeudi étaient les deux journées réservées par nous, les mariés. Le mardi serait le mystérieux mariage et le jeudi, notre journée "excursion".
Le récit dans les deux prochains posts...
Labels: mon mariage
posté par fatfish à 00:39
4 commentaires:
whaou ! d'y relire comme ça met les créoles ...!
Bon Dieu que c'était bien !
et le punta cana ? y'a jamais de créoles sans punta cana...
Snif, y va nous faire chialer celui là... m'en fous je lis pas le prochain post, ça parle mariage... et là c'est pas les créoles, c'est des bouzes de mamouth...
c'toi l'mouth !
c'était du hors temps un trou spatiautemporaireavecquedesbontruccsdedans!
ha p'tain! on s'en sortira jamaiiiiiiiis!
on va tous mouriiiiiiiiiiiiir!!!
pffffffffffffffffffffff
trop moche...
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