fini les wacances :(

quelques jours à Paris, ça m'a fait du bien. Enfin du bien c'est vite dit, mon portefeuille a morflé et j'ai écourté pour cause de rhume pénible.

Par contre, ça fait toujours autant plaisir d'aller voir les copains : ça a été l'occase d'aller voir mon grand pote loony (grosses nuits cs et bf2), minime (et sa petite famille) et mister g & co entr'autres :

J'ai donc enfin rencontré en personne la jeune progéniture de minime (trop mignon ce petit malgré la mauvaise influence de son père qui tente d'en faire un futur fan de foot), nico le cousin indien (avec qui j'ai d'ailleurs passé une top soirée à l'elysée montmartre lundi dernier pour voir l'excellent concert des tueurs en série de la scène : methodman & redman - nico a pris des photos, je les postes dès qu'il me les fait passer) et aussi la jolie hongroise qui fait repousser les cheveux de g. Solide programme.



Ma douce m'avait rejoint pour deux jours et on en a profité pour revoir nos amis japonais (happy birthday toko); ça a été d'ailleurs l'occasion de prendre une cuite mémorable - je pense que j'ai dû choper mon rhume cette nuit là en cherchant l'hôtel sous la pluie (à une heure peu raisonable) avec madame, tous les deux un peu perdus mais morts de rire.



Dommage, du coup je n'ai pas pu voir les thaïlandais qui revenaient ces jours de leur périple "noël + nouvel an sous les tropiques" : ce sera pour la prochaine fois.

Je connais certains coins de paris comme ma poche pour y avoir habité quelques années . Par contre, je me rends compte à quel point j'avais à l'époque limité ma connaissance de paname à seulement quelques quartiers. Les premières fois où j'étais retourné à Paris, je n'avais été que dans des quartiers nouveaux pour moi et je n'avais donc pas vraiment retrouvé mes points de repères. Je me sentais étranger dans cette ville. Depuis, à chaque fois que j'y retourne je trouve toujours le moyen de repasser dans mon ancien quartier et tout redevient étrangement familier.
Cela dit c'est une très belle ville, les activités proposées sont illimitées et j'ai un grand nombre de proches dans cette ville mais de retour chez moi je me dis toujours la même chose : retourner vivre à Paris, ça ne me dit rien du tout.